Aux Freinets
Aux
Freinets, doux écrin de mes jours éveillés,
Je berce des
rires comme on berce un secret.
Chaque
matin, une main, un regard, une voix,
Et déjà la
magie s’invite tout près de moi.
Là, je
cueille les silences et les larmes légères,
Je console,
je rassure, d’un geste, d’une lumière.
Le monde est
encore neuf dans leurs cœurs palpitants,
Et moi,
humble veilleuse, j’apprends à chaque instant.
Ces petits
êtres en marche, curieux et solaires,
Font danser
l'espérance sur le sol élémentaire.
Aux
Freinets, chaque jour est un chant maternel,
Un jardin
d’innocence où l’âme se révèle.
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