À vous qui
me lisez, âmes de passage,
Bienvenue en
mon Éden, doux et sans orage.
Ici, je
dépose, tel un souffle discret,
Mes peines
murmurées, mes joies en secret.
Ce lieu est
intime, un écrin nécessaire,
Où s’épanche
mon cœur, fragile et sincère.
Par besoin
de lumière, de souffle et de paix,
Je m’ouvre
en silence, là où l’ombre s’efface.
Si mes mots
vous touchent, avec grâce infinie,
Je vous
invite à suivre ma page en harmonie.
Car l’autre
demeure, celle que je privilégie,
Est le
sentier choisi pour ma douce thérapie.
Merci, chers
lecteurs, de votre bienveillance,
D’accepter
ce voyage entre mots et silence.